Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

percin

  • "Western Girl" d'Anne Percin

     

    western girl.JPG

    Elise est une ado qui est fascinée par l'univers des chevaux, des cow-boys, des western, de la country et de l'Amérique. Pendant trois semaines, elle va partir en colo dans un ranch aux Etats-Unis. Le rêve pour elle, qui va rapidement tourner au cauchemar lorsqu'elle va s'aperçevoir que les autres ados qui l'accompagnent se comportent comme des snobinards. Elle va alors subir railleries et humiliations avant de se rebeller pour de bon !

    D'Anne Percin, j'avais déjà lu "Comment (bien) rater ses vacances" que j'avais adoré par le simple fait que l'auteure se met complètement à la place des ados et nous sort des livres drôles et très réalistes ! Ici j'ai retrouvé sa plume et son humour. Donc forcément j'ai adoré !

    Et pourtant, l'univers des chevaux et des cow-boys, ça n'a jamais été mon truc ! Malgré tout, Anne Percin arrive à nous captiver et du même coup à nous apprendre plein de choses : les différents rodéos qui existent, divers titres de country ou même le mode de vie d'un ranch. C'est super intéressant et le fait que ce soit une nana comme personnage principal attirera finalement autant les filles que les garçons.

    J'ai également apprécié le fait que ce soit écrit sous forme d'un journal de bord (qu'elle surnomme affectueusement JDB). Elise y retranscrit ses découvertes et ses sentiments. On la suit pas à pas tout au long de ces trois semaines.

    Bon et puis faut dire que le fait qu'elle s'appelle Elise ne me laisse pas indifférente puisque je porte le même prénom ! ^^
    Et juste un petit mot sur les sublimes couvertures des éditions Le Rouergue qui collent toujours très bien avec l'histoire qui est conté à l'intérieur du bouquin !

    Bref, un très bon moment passé dans cet univers totalement inconnu pour moi !

    Petite citation pour la route : "Le respect, ça ne se mérite pas : ça se donne ! Si on attend que les autres le "méritent", on peut passer des siècles à leur marcher sur la gueule, en attendant."