Aria vit dans un monde confiné et protégé. Un jour elle s'aventure dans un lieu où la sécurité semble mise à mal et se retrouve alors dehors. Cet ailleurs, Aria n'y connait rien sauf peut-être que des êtres sauvages y habitent. Elle fera la connaissance de Perry, un sauvage qui est à la recherche de son neveu, enlevé par les gens de la même espèce qu'Aria. Ils vont devoir s'unir pour arriver à leur fin !
Ayant reçu récemment le tome 2 "Ever dark" dans ma BAL, il me semblait plus judicieux de commencer par le tome 1 ! Je dois dire que je ne m'étais pas plus que ça intéresser à cette série et maintenant que j'ai lu ce premier tome, je regrette de ne pas m'être pencher dessus plus tôt ! ^^
Ce roman young adult aborde plusieurs thèmes : le racisme, la peur de l'inconnu, les préjugés, le décallage entre le moderne et l'ancien, la nouveauté, les nouvelles technologies ... et j'en passe ! Bien évidemment, ce premier tome réunit les bases du roman young adult : un monde fantastique, une jeune fille et un jeune homme que tout oppose mais qui pourtant va finalement les rapprocher !
J'ai bien aimé l'idée de la tempête d'Ether qui parsème de diverses difficultés le chemin des deux personnages principaux. Cela est d'ailleurs repris dans la couverture. A ce propos, je la trouve très futuriste, limite robotique, pas forcément attirante...
Tout au long de la lecture, nous apprenons à connaitre les deux personnages principaux à savoir Aria et Perry. Ce sont d'ailleurs les deux narrateurs du roman. Cela permet de les connaitre davantage et de savoir réellement ce qu'ils ressentent quasi au même moment.
Enfin, en finissant ce premier tome, je n'ai qu'une envie : me plonger dans le deuxième !
Bref, un roman young adult réussit et addictif !
Petites citations pour la route : "Comment peut-on faire autant de mal à quelqu'un qu'on aime ?
- Les gens sont parfois plus cruels avec ceux qu'ils aiment."
"Tu sais ce que je pense des mots.
- Les mots sont le meilleur moyen dont je dispose pour te connaître."
"Comme il l'avait pensé, les couvertures de livre constituaient de bonnes semelles. Résistantes, mais souples. C'était la meilleure utilité qu'il ait jamais trouvé à un livre."