Elisa est une jeune femme de 28 ans, travaillant dans l'édition, un gentil boy-friend Hugo et une addiction à son téléphone et aux réseaux sociaux. Et c'est justement sur ce dernier point que le bât blesse ! Hugo en a plus qu'assez de devoir la partager avec ses abonnés et ses followers… Il lui pose alors un ultimatum : pas de portable pendant une semaine ou la rupture ! Elisa va alors se résigner à abandonner son téléphone et tout ce qui va avec… Va-t-elle réussir à vivre une semaine sans les nouvelles technologies ?
J'avais envie de lire un roman détente, ce chick-lit est tombé à point nommé !
Forcément, étant une blogueuse, ayant un compte facebook, un compte snapchat, un compte Instagram et diverses applications sur mon téléphone, je ne pouvais que m'identifier au personnage d'Elisa. ça aide aussi d'avoir quasiment le même prénom qu'elle, à une lettre près ! Mais bon, pour être un peu plus sérieuse, je ne suis pas autant accro qu'elle aux réseaux sociaux et autres applications (enfin du moins je ne crois pas !).
Vous imaginez bien que le sevrage ne va pas se faire sans mal, ni sans rebondissements ! J'ai adoré suivre Elisa dans ses galères, mais également dans cette remise en question. C'est un phénomène qui s'observe de plus en plus fréquemment dans notre société et je trouve ça bien que le sujet soit abordé dans un roman accessible à tous ! De plus, cela est fait avec beaucoup d'humour, du coup on passe un agréable moment au côté d'Elisa et avec la plume de l'auteure Coralie Khong-Pascaud !
J'imagine très bien ce roman être adapté en téléfilm sympa. En tout cas, les jeunes trentenaires comme moi se retrouveront assez facilement dans ce genre de situation. Nul doute que ce roman trouvera son lectorat !
Bref, une lecture sympa et agréable sur notre rapport aux réseaux sociaux et nouvelles technologies !
Je remercie les éditions City !
Petite citation pour la route : "On finit tous par s'éloigner les uns des autres, c'est la vie, c'est comme ça. Mais c'est notre responsabilité de faire tenir les relations, car une fois qu'elles ont disparu, on ne peut s'en prendre qu'à soi-même. Et parfois, il est trop tard pour pouvoir faire marche arrière."