Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mikaël

  • "Plus jamais sans elle" de Mikaël Ollivier

    plus jamais sans elle.JPG

    Alan a 18 ans et n'a jamais connu sa mère. Le jour de son anniversaire, son père lui demande ce qu'il désire et Alan lui réponds : "ma mère". Son père lui donne alors un bout de papier avec seulement une adresse à Londres, ainsi qu'un billet de train.
    Là-bas, il rencontre sa mère Ellen. Cette dernière vit un rythme bien particulier puisqu'elle exerce un métier qui peut se révèler dangereux. Alan va le constater rapidement car Ellen est envoyée en mission en Bulgarie et Alan refuse de l'abandonner. L'aventure commence...

    Ce livre m'a été chaudement recommandé par ma libraire jeunesse et je ne peux que l'en remercier ! C'est un chouette roman où se mêle de l'action, de l'aventure et du suspense. Ce ne sont pas des qualités que j'ai l'habitude de rencontrer dans les romans pour ados, et je dois dire que j'ai énormément apprécié cette histoire.

    Tout d'abord, le fait qu'Alan est envie de rencontrer sa mère qu'il ne connait pas et dont il ne sait rien du tout. Il l'a rencontre et épouse malgré lui son rythme de vie effrénée. Une relation mère/fils compliqué dont il attendra évidemment des réponses aux questions qui se sont posés à lui depuis sa naissance.

    L'action et l'aventure découle directement de la mission et du métier d'Ellen. Alan va découvrir une nouvelle facette de sa mère dont il ne soupçonnait pas l'existence ! Le rythme prend de l'ampleur et emmène le lecteur dans "un thriller au goût intense" (pour citer un peu la 4e de couv').

    Ce qui est intéressant aussi, c'est que le lecteur s'approprie l'histoire du point de vue d'Alan mais aussi de celui d'Ellen. En effet, l'alternance des deux narrateurs nous permet de savoir les sentiments et les réflexions de ces deux personnages séparés depuis longtemps !

    Petite citation pour la route : "C'était le passé, Alan. Tu es arrivé, et tu étais le présent, et l'avenir. Le passé n'existe pas. Il disparait à chaque instant."