Anaëlle a vu sa vie bouleversée à cause d'un accident de la route. Mais depuis peu, elle a décidé de reprendre sa vie en main, tout d'abord en devenant propriétaire, mais également en s'adonnant à sa passion : écrire un roman policier.
De son côté, Thomas partage sa vie entre son boulot de charpentier et l'hôpital où est traité son petit frère Simon.
Rien ne prédestinait ces deux personnages à se rencontrer… et pourtant !
C'est toujours un bonheur de plonger dans les romans d'Agnès Ledig et ce dernier livre ne fait pas exception à la règle ! Même si j'avoue qu'il y a toujours une bonne dose de drame dedans ! Mais bon, cela fait aussi partie de la vie… et voici une auteure qui sait très bien en parler !
Vous l'aurez compris, j'ai adoré ! J'ai beaucoup aimé le fait que l'on alterne d'un personnage à un autre et on se demande assez vite comment leur destin va pouvoir se croiser. J'ai rapidement eu un faible pour Thomas, je me demande même si cet être existe réellement dans la vraie vie ! (ne dite rien à mon chéri ^^)
Comme d'habitude, il y a énormément d'émotions et je dois dire que j'ai retrouvé le même ressenti que dans "Juste avant le bonheur", mon roman préféré de l'auteure !
Bref, foncez ! Il n'y a rien d'autres à dire !
Petites citations pour la route : "Et puis un jour, vous comprenez que la vie est ici, dans l'instant, puisque rien ne dit qu'elle sera encore là demain, et après-demain, et les jours suivants. Alors vous la traversez un peu plus fort, un peu plus doux, un peu plus rire, un peu plus fou."
"Parfois on vit, ou devrais-je dire on vivote, en se disant que tout va bien, qu'on a une vie normale, que les gens qui nous entourent sont sincères, et puis, quand vient l'orage, on se rend compte de leur vraie nature."
"Convoquer l'avenir dans l'instant présent, s'accrocher à la perspective de demain pour supporter aujourd'hui."
" - La vie ne fait pas grand cas de ce genre de différence. Elle tranche dans le bonheur sans états d'âme. A chacun de panser ses plaies comme il peut et de se relever. Il faut bien avancer. La société n'autorise pas les parenthèses."